Les travaux de récupération et de gestion des eaux pluviales constituent des marchés à fort potentiel de développement compte tenu des aléas météorologiques et de la modification du climat.
Les entreprises des travaux publics, les maçons, les plombiers et les entreprises du paysage sont chacun dans leur domaine d'activité respectif en capacité de les proposer au moment de la construction ou de la réhabilitation d'un bâtiment au même titre que les terrassements pour les fondations, le système d’arrosage, l’assainissement… Le plombier intervient naturellement pour la réalisation de la partie intérieure de l'installation domestique et pourquoi pas pour la pose de cuve de stockage de l'eau de pluie.
Avec le label Qualipluie®, l'entreprise labélisée renforce sa notoriété, montre sa compétence dans ce domaine particulier, développe une expertise qui assoit sa crédibilité.
QUALIPLUIE® est une marque, c'est-à-dire que son champ d’action est commercial. Il ne s’agit donc pas d’une qualification. Pour autant, qualité et compétence sont indispensables pour être reconnu « installateur QUALIPLUIE® » et bénéficier du droit d’usage. A cet égard les conditions d’attribution de la marque sont parfaitement encadrées.
des besoins domestiques ne nécessitent pas d’eau potable.
L’eau douce est une ressource rare et devenue chère. Dans un souci d’économie, il semble alors logique de ne pas payer au prix fort l’eau pour certains usages ne présentant pas de risque sanitaire.
Pour bien adapter son projet de récupération et de gestion de l’eau de pluie à ses besoins, il convient donc d’étudier sa consommation d’eau au préalable, son besoin et le potentiel pouvant être récupéré ou mieux géré.
Les périodes longues de sécheresse s'amplifient, les sols s'assèchent, les nappes phréatiques se rechargent difficilement. Pourtant les pluies abondantes et dévastatrices ne sont plus rares. La récupération, le stockage, l'écrêtement ou l'infiltration de l’eau de pluie permettent de mieux gérer ces manifestations du changement climatiques et leurs conséquences dommageables .
Les économies de la ressources peuvent être réelles mais il est inutile de surdimensionner une cuve de stockage. Il faut trouver un juste équilibre avec l'objectif de subvenir à tout ou partie des besoins entre deux périodes de pluie.
La gestion de l'eau de l'eau à la parcelle tient compte de l'évolution des règles d'urbanisme imposant désormais souvent un dispositif d'écrêtement des eaux rejetées au ''pluvial''.
Le cycle de l'eau en France métropolitaine fait intervenir :
milliards de m³ d'eau apportés par la pluie et la neige
milliards de m³ d'évaporation (60%) ;
milliards de m³ est arrivée, en provenance des pays voisins.
milliards de m³ est le volume annuel total des eaux renouvelables